Charpente Renaissance à chevrons porteurs de la nef, avec entrait à engoulent et charpente à fermes et à pannes médiévale du choeur.
Charpentes médiévales de la nef et du choeur, avec poinçons rapportés pour disposer un contreventement au XVIIe.
Charpente médiévale à chevrons porteurs dont les entraits et les poteaux/poinçons ont été sciés.
L'originalité réside dans les assemblages à mi-bois des écharpes et des entraits retroussés et dans le poteau qui ne monte pas au faîtage mais qui vient se bloquer sous la croix formée par les écharpes.
Des fourreaux et des vestiges de lambris anciens sont réutilisés en fourreaux sous les chevrons pour caler un lambris probablement du XVIIIe siècle
Datation des plafonds, cloisons à pan-de-bois et charpente à chevrons porteurs du logis XVe, dont la salle d'apparat possède une très belle cheminée en pierres à frise sculptée de motifs animaux et végétaux.
Tour d'escalier hors-oeuvre XVIe.
Cette ferme du XIXe siècle est monumentale. Elle se situait sur le tracé de l'A19 et a été démantelé et remontée au château de Chamerolles (45). La charpente sur poteaux s'apparante à une halle en bois.
Dans l'enceinte de l'abbaye, les vestiges de l'église sont rares, mais le bâtiment des cuisines est bien conservé, avec son rez-de-cour voûté.
La charpente médiévale a été partiellement reprise et a fait l'objet d'une étude archéologique par F. Tournadre (Agence Arcade).
Ce château médiéval a conservé trois tours et deux ailes reconstruites au XVIIIIe siècle.
Parmi les dépendances, la grange à dîmes du XVe siècle s'élève sur trois niveaux, dont les poutres de plafonds sont soutenues par un système de poteau central avec semelle et aisseliers. Des dispositifs similaires sont ajoutés régulièrement jusqu'au XXe siècle pour étayer les zones fragilisées.
Il ne subsiste du château de Philippe IV que la grande salle, aujourd'hui la mairie. La salle basse (cave abritant les archives) a conservé une partie des plafonds avec piliers en pierres sous les poutres maîtresses. En revanche, les niveaux en élévation résultent d'une restructuration au XVIIe siècle commanditée par Phélippeaux de la Vrillère (cloisonnement longitudinal de la salle haute, division en étages d'une moitié, salle voûtée sur l'autre moitié, rotonde).
En 2004, un programme d'étude des pan-de-bois de la ville d'Orléans a été initié par le Service Archéologique municipal en collaboration avec le SDAP (Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine).
Dans le cadre d'un vaste programme de ravalement de façades, plusieurs campagnes de prélèvements d'échantillons dans les façades, les charpentes et les plafonds de plus de soixante bâtiments de la ville ont mis en évidence des constructions du XIIIème au XIXème siècle.